Consommer moins, consommer mieux.

Quels sont les critères ESG ?

ESG

Vous avez entendu parler des critères ESG lors de vos recherches sur le net (ou peut-être même lors de votre utilisation de Nudger !) et vous vous demandez à quoi correspond cet acronyme ? Nudger vous aide aujourd’hui à y répondre en décortiquant pour vous tout ce que vous devez savoir sur les critères ESG.

🌱 E comme Environnement

Le « E », c’est probablement le plus intuitif : limiter son impact sur la planète. Concrètement, le critère E de ESG, pour Environnement, parle de carbone, de pollution, d’économie circulaire, mais aussi de biodiversité ou de gestion de l’eau. Une entreprise qui néglige le climat aujourd’hui prend le risque de perdre gros demain entre des clients qui fuient, des investisseurs frileux, des amendes salées, voire une pénurie de ressources.

À l’inverse, celles qui innovent pour réduire leur empreinte carbone ou optimiser leur production deviennent les chouchoutes des marchés. En clair : pollueur-payeur, pionnier-gagnant. Nudger essaie au maximum de valoriser l’engagement de ces marques en incluant une évaluation ESG des marques au calcul de l’Impact Score de nos produits.

🤝 S comme Social

Si l’écologie est le premier élément auquel on peut penser quand on songe à l’impact des entreprises, le social reste parfois le grand oublié. Et pourtant, pas de boîte solide sans des équipes bien traitées et des communautés respectées. Qualité de vie au travail, diversité, inclusion, respect des droits humains tout au long de la chaîne de production sont ainsi autant d’éléments qui pouvaient être moins prises en compte que d’autres critères avant la démocratisation de l’acronyme ESG.

🏛️ G comme Gouvernance

Dernier pilier et pas des moindres des critères ESG : la gouvernance. C’est le squelette de l’entreprise. Une boîte peut cocher toutes les cases « green » et « people-friendly » : si la direction est opaque et corrompue, ça s’effondre.

Une bonne gouvernance, c’est un conseil d’administration diversifié, des dirigeants payés de façon juste, des comptes clairs et une vraie politique anti-corruption. En clair, une structure solide qui rassure tout le monde : salariés, partenaires et clients.

Mais au fond, pourquoi tout le monde en parle ?

Les critères ESG sont devenus incontournables pour trois raisons : d’abord, parce qu’ils réduisent les risques (une boîte mal notée peut être boycottée ou sanctionnée). Ensuite, parce qu’ils boostent la performance : oui, une entreprise responsable est souvent plus résiliente en temps de crise. Enfin, parce qu’ils attirent de l’argent frais : de plus en plus de fonds ne veulent financer que des projets « ESG friendly ».

Au vu de l’importance de ces critères, il nous paraissait donc primordial d’inclure une telle évaluation dans notre Impact Score, car l’impact d’une marque ne se limite pas à ses émissions de CO2, mais bien à l’ensemble des maillons de la chaîne qu’elle touche.

OK, mais comment on évalue tout ça ?

Les entreprises doivent aujourd’hui prouver ce qu’elles avancent. Pour ça, elles peuvent s’appuyer sur des référentiels internationaux : le GRI, le SASB, ou encore la fameuse CSRD en Europe qui rend le reporting ESG obligatoire pour des milliers de boîtes. Plus question de noyer le poisson : sont exigés des chiffres concrets, des rapports publics et des audits réguliers.

Nudger centralise certaines de ses informations dans son outil d’évaluation pour ainsi extraire une évaluation ESG incluse dans le calcul de l’Impact Score de chacun de nos produits.

L’ESG, un simple effet de mode ? Spoiler : non.

Certains diront que c’est un buzzword de plus. Pourtant, l’ESG est en train de remodeler le mode de gouvernance de demain de bien des entreprises. Il pousse les professionnels à intégrer les responsabilités environnementales et humaines ainsi que la bonne gouvernance au cœur de leur stratégie, pas seulement dans les slides de fin de présentation.

Et quand on sait que les nouvelles générations (tant clients que salariés ou investisseur) ne transigent plus sur ces questions, on comprend vite qu’ignorer l’ESG, c’est un pari perdant.

📒 Ce qu’il faut retenir

Ainsi, si vous vous demandiez ce que sont les critères ESG, vous pouvez retenir que l’acronyme désigne chacun des critères : E pour Environnement, S pour Social, G pour Gouvernance. Trois piliers qui déterminent si une entreprise est capable de durer, d’innover sans détruire et de créer de la valeur pour tous, pas juste pour ses actionnaires.

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